17/07/2024 • 12 h 00 HAE
Ce webinaire a été élaboré et présenté en interne pour une organisation qui étudie l’intégration de l’IA, en particulier dans les secteurs de la construction et des métiers spécialisés.
La séance était consacrée à la croissance rapide de l’IA, à son impact sur différents secteurs, aux réactions émotionnelles, au contexte historique, aux applications pratiques, et aux préoccupations liées à l’éthique. Parmi les sujets de discussion figuraient l’IA sur le lieu de travail, les biais technologiques, la confidentialité des données, les besoins en formation, les taux d’adoption et l’ingénierie de requêtes. Une démonstration rapide d’outils d’IA générative utiles a également été effectuée dans le cadre du webinaire.
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Oui, c’est là que le bouleversement se produira, avec des estimations comme celles d’Accenture qui suggèrent que 30 % des tâches pourront être automatisées. À court terme, il est essentiel d’être bien formé à l’utilisation de ces outils. Cependant, des questions importantes se posent sur la manière dont cela affectera la main-d’œuvre à long terme.
Oui, il ne fait aucun doute que l’adoption de l’IA deviendra une composante éthique pour les entreprises et les gouvernements. À mesure que les technologies et les outils associés à l’IA se généralisent, ils soulèvent de nombreuses questions éthiques qu’il est nécessaire d’aborder. Ces questions portent notamment sur la confidentialité des données, la sécurité, le risque de partialité des systèmes d’IA, et l’impact sur l’emploi et la productivité. Les entreprises et les gouvernements devront réfléchir à la manière d’offrir à leurs employés la possibilité d’apprendre et de s’adapter aux progrès de l’IA tout au long de leur carrière. De plus, il est absolument nécessaire de mener des discussions ouvertes sur ces implications éthiques, et de créer des réglementations et des politiques qui permettent de garantir que les avantages de l’IA soient répartis de manière équitable dans la société, et qu’ils ne nuisent ni aux personnes ni aux communautés.
L’IA absorbe tout le contenu créé par l’homme, ce qui comprend les biais. Si des solutions techniques peuvent réduire les préjugés au fil du temps, les biais en matière d’IA restent un problème important qui doit être abordé. Toutefois, des efforts sont actuellement réalisés pour identifier et réduire ces biais au fur et à mesure. Des solutions techniques peuvent contribuer à atténuer les préjugés, mais les biais en matière d’IA constituent néanmoins un défi de taille. Chaque pays peut également avoir des biais culturels et développer ses propres modèles d’IA, ce qui pourrait compliquer les utilisations de l’IA à l’échelle mondiale. Les utilisateurs doivent examiner les résultats de l’IA de manière approfondie, et ne pas se fier uniquement à l’IA sans apporter leur propre analyse et le contexte adéquat. Des améliorations continues et une utilisation réfléchie sont nécessaires pour gérer et réduire les biais liés à l’IA.
La réglementation en matière d’IA constitue un défi de taille, dans la mesure où la technologie progresse plus rapidement que ne peut le faire la législation. De nombreux pays cherchent à mettre en place des réglementations, mais ils hésitent souvent à trop réglementer par crainte d’entraver l’innovation. Au Canada, il existe une certaine forme de législation, mais à ce jour, elle reste peu élaborée. L’Union européenne a également mis au point certaines réglementations, mais celles-ci sont toujours en cours d’évolution. Le principe législatif premier est de veiller à ce que les mises en œuvre de l’IA ne nuisent pas à autrui, évitent de créer des environnements biaisés, et protègent les intérêts des clients. Toutefois, en raison de la complexité et du développement rapide de l’IA, les législateurs ont du mal à élaborer rapidement des réglementations exhaustives. Il est donc essentiel que les entreprises et les particuliers se tiennent informés des progrès de l’IA, et participent activement aux discussions relatives à l’utilisation éthique et à la réglementation dans ce domaine.
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